Le moteur Pantone à injection d'eau

Pourquoi le gouvernement n'a-t-il pas obligé les constructeurs à intégrer ce système

semblant réduire massivement différentes formes de pollution ?

Pantone, c’est le nom de Paul Pantone, un inventeur américain qui donna son nom à son moteur dans les années 1980, après avoir déposé un brevet qu’il laissa accessible au public. Le principe est (comme souvent) très simple : un mélange constitué de 80 % d’eau et de 20 % d’essence est chauffé par les gaz d’échappement. Les vapeurs ainsi créées passent dans un réacteur qui les transforme en un « gaz Pantone » lui-même envoyé dans le moteur, en lieu et place du traditionnel mélange d’air et de carburant.

En d’autres termes, le moteur Pantone utilise de l’eau pour limiter les pertes de rendement, en réinjectant de l’énergie dans le moteur. Les résultats sont prometteurs : 25 % d’économie de carburant, baisse de la pollution, diminution du bruit, longévité accrue… La liste est longue.

Le moteur PANTONE consiste en une adaptation légère du moteur thermique, qui permet une réduction notoire de la consommation en carburant ainsi que la nette diminution d'émission de particules polluantes. Son principe est simple, c'est un mélange carburant-eau qui se retrouve dans la chambre de combustion du moteur. Il en résulte un meilleur rendement moteur, une baisse de consommation, des économies et surtout une baisse très importante des microparticules émises.

L'air ambiant (1) est aspiré dans le bulleur pour former de l'air humide (3) en passant dans l'eau (2).

Cet aérosol est transformé par le réacteur (4) en un gaz de synthèse (5) qui est mélangé à l'air venant du filtre à air (6) par le diffuseur (7) en direction de l'admission du moteur (8) avant le turbo.

La combustion est améliorée, la consommation baisse.

La chaleur du pot issue des gaz d'échappement (9), dépollués, fournissent l'énergie nécessaire à la transformation.

source : http://www.moteurpantone.net/