Il existe de nombreuses méthodes atypiques pour produire de l’énergie, comme à Londres avec la graisse des égouts, ou encore Plant-e, qui convertit l’énergie des plantes et bactéries en électricité.
Dans cet esprit, nous avons découvert un projet qui vise à transformer l’énergie dégagée par les spectateurs d’un stade en électricité.
Imaginé par Adam Radi et Mathias Trads pour le constructeur IBM, le principe est de mettre en place une solution permettant de capter les vibrations produites par l’énergie des spectateurs pour produire de l’électricité, et l’utiliser ensuite pour alimenter les logements des plus pauvres.
video ci-dessous :
Les innovations liées à l’amélioration de la qualité de l’air ont le vent en poupe ! Il y a quelques temps, nous parlions d’un purificateur d’air portable qui pourrait remplacer le masque anti-pollution. Cette fois-ci, c’est au Luxembourg que nous avons découvert Foobot, un appareil intelligent qui mesure la pollution de l’air intérieur.
L’équipe derrière Foobot est partie sur le constat que l’air intérieur d’un logement est jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur, ce qui engendre des troubles respiratoires. Foobot permet d’y faire face en mesurant continuellement les taux de dioxyde de carbone et de monoxyde, l’humidité, la température moyenne et d’autres informations importantes comme la présence de particules fines. Chaque utilisateur peut suivre les informations collectées depuis une application mobile.
Le Costa Rica est en train d’établir un record exceptionnel : depuis 113 jours, la consommation électrique de la population a été entièrement couverte par les énergies renouvelables !
En 2015, les énergies renouvelables avaient déjà généré en moyenne 98,7 % des besoins électriques du pays, dont 285 jours à 100 % ! Au premier semestre 2016, la moyenne était de 96,36 %.
L’usage du vélo permet notamment de ne pas polluer l’air mais n’empêche pas les cyclistes de respirer de l’air pollué lors de leurs trajets. Sur ce constat, l’agence thaïlandaise Lightfog propose un vélo purificateur d’air.
Ce vélo a une apparence tout à fait classique, sauf qu’il intègre un filtre à air permettant de récupérer l’air pollué qui entoure le cycliste afin de le purifier immédiatement, et ceci grâce à un dispositif exploitant la photosynthèse pour produire de l’oxygène.
Grâce à ce dispositif, le cycliste bénéficie d’une projection d’air purifié durant un trajet, au lieu de l’air pollué.
Présentation en vidéo du vélo :
De nombreux pays en voie de développement, notamment situés en Afrique, ont des besoins importants d’eau potable. Les solutions facilitant l’accès à cette eau portable sont donc toujours bien accueillies. Eliodomestico est un système italien permettant de récupérer jusqu’à 5 litres d’eau quotidiennement, tout en étant alimenté par l’énergie solaire.
Conçu par le designer italien Gabriele Diamanti, ce système nécessite de mettre de l’eau de mer dans l’appareil pour produire de l’eau potable. Pour permettre cette prouesse, le système permet à l’eau de s’évaporer grâce à la chaleur dégagée par le soleil. Ainsi, la vapeur d’eau générée est basculée vers un bouilloire, puis passe par une buse d’expansion et se condense au fond de l’appareil.
Ce processus nécessite environ 8 heures pour être réalisé. Son utilisateur peut donc mettre de l’eau de mer le matin et récupérer de l’eau portable en fin de journée.
Vidéo de présentation par son inventeur :
Dans une prison brésilienne, on a proposé un drôle de « deal » aux détenus pour qu’ils achètent leur liberté.
Les prisonniers de Santa Rita do Sapucaí au Brésil peuvent désormais obtenir des remises de peine à la force des mollets. Le juge José Henrique Mallmann a en effet décidé d’accorder aux volontaires un jour de remise de peine pour 16 heures d’efforts. Bien entendu, il ne s’agit pas là de pédaler dans le vide : les vélos sont reliés à deux batteries se chargeant par l’intermédiaire de courroies et alimentant l’éclairage public !
Image: Steven Duensing / National Center for Supercomputing Applications, University of Illinois, Urbana-Champaign
La membrane est sélective. Elle laisse passer les ions chargés positivement et repousse la majorité des charges négatives, créant une tension qui met en mouvement le courant électrique.
Les producteurs de Beaufort boivent du petit-lait. Mais pas seulement: ils en font aussi de l'électricité. Depuis quelques mois, l'usine Savoie Lactée produit effectivement de l'énergie à partir des résidus de production du célèbre fromage savoyard.
Savoie Lactée fabrique l'équivalent de la consommation d'électricité de 1500 personnes par an, revendue à EDF à un tarif préférentiel.
Des chercheurs viennent de réaliser une percée majeure en matière de cellules photovoltaïques de type organique en augmentant leur efficacité de près de 50% d’une traite.
Une avancée importante qui pourrait s’avérer décisive dans la course à la transition énergétique où le photovoltaïque ne cesse de gagner du terrain.
Le studio londonien ecoLogicStudio a fait une apparition remarquée lors de l’exposition universelle de Milan qui s’est tenue en 2015.
Le cabinet a exposé à cette occasion un mobilier urbain qui offre de l’ombre tout en produisant de l’énergie, de l’oxygène et de la nourriture.
Les inventeurs articulent sans complexes les technologies les plus modernes et les caractéristiques naturelles séduisantes des microalgues.
Les herbicides sont dangereux pour notre santé et polluent notre environnement. Pourtant, le glyphosate, composant du Round Up de Monsanto, est encore autorisé en France et
dans la plupart des pays européens. Mais quelles solutions alternatives avons-nous pour éliminer les herbes indésirables dans les champs et les jardins
?
En voici une qui s’avère particulièrement propre et efficace. Son nom ? NatureZap.
NatureZap est un dispositif innovant qui n’utilise aucun produit chimique. Comment ça marche ? Tout simplement en passant cet appareil sur les mauvaises herbes. Il émet alors un faisceau de chaleur et une lumière bleue qui va atteindre les racines pour empêcher la plante de repousser. Mais est-ce vraiment efficace ? Voici la réponse de Jon Jackson, le président de Global Neighbor, la société qui a mis au point le NatureZap :
« Entre 70 et 80 % des plantes meurent sans jamais repousser. Il est au moins aussi efficace que le glyphosate contre L’AMBROISIE. »
Le vent a soufflé si fort le dimanche 7 août en Ecosse que les éoliennes ont généré 106 % des besoins en électricité du pays. Les turbines ont donc produit plus d’énergie renouvelable que les besoins réels de la population.
Les éoliennes ont généré 39 545 MWh alors que la consommation totale des habitations, des entreprises et des industries du pays n’a atteint que 37 202 MWh !
Les rafales ont atteint les 185 km/h dans la chaîne de montagnes des Cairngorms. Cela n’a pas été sans provoquer des inconvénients : ponts fermés, trains en retard et ferries annulés. Le courant électrique a même été interrompu plusieurs fois dans certains quartiers de Dundee, la quatrième ville du pays. Mais, d’un autre côté, on peut aussi affirmer que ces conditions météorologiques extrêmes ont eu un aspect positif.
Je ne peux pas révéler les secrets de fabrication. Ma société Algopack est la seule dans le monde à produire cette matière. Pour faire simple, nous utilisons des algues brunes présentes localement (autour de Saint-Malo par exemple). Ce qui évite d'importer des variétés qui pourraient présenter un risque pour la biodiversité. Ensuite, nous transformons l'algue grâce à un procédé mécanique et thermique. Tous les éléments qui entrent dans la composition sont végétaux. Il n'y a aucun produit chimique.
Alimentés par l’énergie du soleil et du vent, ces incroyables réverbères d’Asie du Sud-Est pourraient bien améliorer la qualité de vie de beaucoup de populations.
Ils tuent les moustiques (grands propagateurs de virus), rechargent votre téléphone, et alertent en cas d’inondations.
Comme beaucoup de domaines, la construction immobilière bénéficie d’une innovation constante. C’est notamment le credo d’une entreprise française basée à Aix-en-Provence. Elle a inventé un concept de maison écologique en kit, dont les éléments s’emboitent facilement pour une construction rapide.
Si vous avez soif d’aventure, vous allez être servi : cette gourde incroyable est capable de purifier et de rendre l’eau potable en seulement 15 secondes.
Légère et de la taille d’une bouteille en plastique, elle se glisse dans votre sac à dos pour vous accompagner lors de vos voyages.
Elle s’avère également très utile en cas de situation d’urgence lorsque l’accès à l’eau potable est impossible.
La récolte et l'extraction du miel sont des étapes assez laborieuses pour les apiculteurs.
Qui parmi vous sait que les agriculteurs louent des ruches auprès des apiculteurs afin de doubler leur production ? C'est d'ailleurs une source de revenus non négligeable pour les apiculteurs !
Être apiculteur peut être, mine de rien, un métier dangereux.
Grâce à cette nouvelle ruche révolutionnaire il est possible de récolter le miel sans déranger les abeilles : de quoi mettre hors de danger les apiculteurs et ne pas importuner outre
mesure ces petits insectes besogneux.
Grecia est un toucan qui a été sauvagement agressé par un groupe de jeunes au Costa Rica, ces derniers le laissant défiguré, son bec complètement arraché.
Dès lors, une vague d’indignation et de soutien a submergé Internet permettant de récolter pas moins de 7 000 $.
Cette somme a été utilisée pour aider cette petite bête dans sa convalescence mais également pour lui créer un bec artificiel conçu grâce à une imprimante 3D.
Inspirée par les corises, une équipe de l’Université de Bristol a imaginé le Row-bot, un prototype de robot conçu pour se déplacer au-dessus de l’eau et se nourrir des déchets qui s’y trouvent.
Dans son mouvement, il génère grâce à ces bactéries assez d’énergie pour s’auto-alimenter.
Row-bot se compose d'un mécanisme de propulsion et se déplace à l’aide de petites pagaies fonctionnant grâce à un minuscule moteur DC à brosses de 0,75W. Ce moteur est alimenté grâce à l’énergie créée par son “estomac”, où une garnison de cellules microbiennes sert de carburant électrique.
Ce moteur français est vraiment bluffant. Il n’a besoin d’aucun carburant, ne nécessite aucun entretien… et peut fonctionner 25 ans sans jamais s’arrêter de tourner !
Une invention spectaculaire qui devrait avoir un impact sans précédent sur notre rapport à l’énergie…
Alors que l’obsolescence programmée est devenue la règle, on trouve encore des ingénieurs récalcitrants qui se creusent la tête pour inventer des outils performants, utiles et inusables. Le Français Alain Coty est de ceux-là. Et avec sa nouvelle invention, dans le genre, il est allé très, très loin !
En quelques dizaines d’années l’informatique a révolutionné nos modes de vie… et c’est loin d’être fini ! Figurez-vous que les ordinateurs sont désormais capables de nous fournir… le chauffage ! Et pour pas un rond en plus ! Qarnot, une entreprise française, a en effet mis au point un système absolument génial qui, d’ores et déjà, chauffe gratuitement des immeubles entiers ! Une invention spectaculaire.
Le fantasme du moteur à eau fait son grand retour. Mais cette fois, c’est du sérieux ! Une entreprise bretonne a en effet mis au point un procédé tout à fait remarquable… et remarqué !
L’idée n’est pas de remplacer les carburants traditionnels par de l’eau mais d’en limiter considérablement la consommation… grâce à l’eau ! Et ça marche. Cette invention française permet en effet d’économiser entre 20 et 50% du carburant habituellement consommé (gazole, essence ou GPL) !
Le mythe du moteur à eau est presque aussi vieux que l’invention de la voiture. Mais, depuis quelques années, avec la flambée du prix de l’essence et surtout avec l’explosion d’internet, l’idée qu’on puisse faire tourner un véhicule rien qu’avec de l’eau refait vigoureusement surface.
Dernier exemple en date, une vidéo de Ricardo Azevedo dans laquelle cet inventeur brésilien affirme que sa moto peut parcourir 500km… avec juste un litre d’eau dans le réservoir ! C’est spectaculaire et, surtout, ça donne envie d’y croire !
Son invention reposerait sur une “batterie capable de générer de l’électricité par la combustion d’eau.”
A vrai dire, pour l’heure, aucun scientifique officiel n’accrédite la thèse selon laquelle une eau pure seule serait capable de faire fonctionner un moteur. De l’eau intervenant, parmi d’autres éléments, dans le fonctionnement d’un moteur, oui, c’est déjà vu. Mais de l’eau seule, jamais.
Un dispositif qui se monte sur un vélo et qui fabrique de l’eau ? L’invention est si folle qu’elle a l’air d’une blague. Pourtant, le système existe bel et bien ! Il est l’oeuvre d’un designer industriel autrichien franchement génial.
Kristof Retezar a imaginé une petite machine qui s’installe au cadre d’un vélo. Cet engin, qui fonctionne à l’énergie solaire, capte l’humidité ambiante puis, par un savant mécanisme mêlant courant chaud et courant froid, transforme sa récolte… en eau ! Il serait capable de produire un demi litre par heure ! Le liquide coulant tout droit dans la bouteille prévue à cet effet.
Avant, pour trouver de l'eau, on creusait des trous dans le sol. Maintenant on la récolte directement dans le ciel ! Cette serre multifonction est géniale.
L’eau a toujours été un bien précieux. L’humanité a mis un peu de temps à s’en rendre compte mais, avec le réchauffement climatique, elle en prend subitement conscience.
Il faut donc apprendre à utiliser cette ressource de façon rationnelle… mais aussi savoir la récolter où elle se trouve, surtout dans les endroits où elle a toujours manqué. C’est dans ce but qu’un couple a mis au point un système de serre qui récupère l’eau présente dans l’air. Assez génial… et très simple !
Après le vent, le soleil et les cours d’eau, voici une nouvelle source d’énergie qui s’apprête à être apprivoisée par l’homme : celle des océans ! Ça se passe en Australie et c’est le dernier cri de l’énergie renouvelable.
La première centrale houlomotrice du monde a vu le jour à quelques kilomètres de Perth. « Houlométrique » ? Oui, il va s’en doute falloir s’habituer à ce nouveau mot : il désigne l’énergie produite… par les vagues de la mer.
Ici, le terrain est si caillouteux et le climat si aride que les chênes vieux de 50 ans sont plus petits que les hommes.
Pourtant, à l’entrée de la ferme de Pascal Poot, sur les hauteurs de Lodève (Hérault), trône une vieille pancarte en carton : « Conservatoire de la tomate ».
Pourtant, chaque été, les tomates Poire jaune et autres Noires de Crimée poussent ici dans une abondance folle.
Sans arrosage malgré la sécheresse, sans tuteur, sans entretien et bien sûr sans pesticide ni engrais, ses milliers de plants produisent jusqu’à 25 kg de tomates chacun.
Son secret ? Il tient dans les graines, que Pascal Poot sème devant moi, avec des gestes qui mêlent patience et nonchalance.
Le fonctionnement des éoliennes à hélices est basé sur celui du moulin à vent, une technologie ancestrale. Celles-ci coûtent cher à l’entretien et sont dangereuses pour la faune. Afin de solutionner ce problème, des ingénieurs ont développé une éolienne qui oscille à l’aide du vent.
Les éoliennes classiques utilisent l’énergie du vent pour faire tourner leurs pales et générer de l’électricité mais elles ne sont pas très efficaces. Seule 30 % environ de l’énergie cinétique du vent est finalement récupérée. De plus elles sont dangereuses pour la faune, notamment les oiseaux ou les chauves-souris.
Devant ce problème, une équipe de chercheurs espagnols a développé une nouvelle technologie d’éolienne basée sur l’oscillation. Un mât est placé dans un support que le vent fera osciller. Il est repoussé par un système d’aimants qui vient contraindre l’énergie du vent et générer l’oscillation, créant ainsi de l’électricité.
Avec peu de pièces mobiles, le Vortex Bladeless coûte environ 50 % moins cher à la fabrication qu'une éolienne classique et demande peu d’entretien. Il ne présente qu’un risque limité d’accident avec la faune et génère peu de bruit. Bien qu’il ne soit pas aussi efficace qu’une éolienne classique, il prend en contrepartie moins de place, ce qui permet d’en installer plus sur la même surface.
L'hippo water roller (inventé par deux Sud-Africains en 1991) est un bidon roulant qui permet de transporter plus facilement et plus rapidement une grande quantité d’eau. Cet outil s’avère indispensable dans certaines zones rurales en Afrique.
En Inde et en Afrique, 750 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau potable. En général, l’eau est transportée dans des seaux de 20 litres sur une distance variant de 2 à 10 km. L’Hippo Water Roller a une capacité pratiquement 5 fois supérieure : 90 litres et peut être transportée avec un minimum d’effort, évitant blessures et fatigues inutiles. Il est fabriqué en plastique recyclable.
Encore quelques efforts et jeter ses déchets deviendra une totale hérésie ! La preuve avec cette invention géniale qui, à la maison, permet enfin de transformer nos déchets en gaz domestique ! Gros plan sur une pépite hyper pratique, super écolo… et drôlement économique !
Le Homebiogas (c’est le nom de l’invention) a été présenté pour la première fois cet hiver à l’occasion de la Cop 21 de Paris.
Ces dernières années, le Chili a tellement investi sur les énergies renouvelables… que l’électricité est devenue gratuite ! Une situation ubuesque et inattendue qui, on s’en doute, ravit les habitants !
En quelques mois, 29 fermes solaires ont ouvert leurs portes au nord du Chili. Et, apparemment, elles sont toutes très performantes : la production excède largement la demande locale ! Résultat ? Un prix de vente qui s’écroule. Voilà 118 jours que l’électricité est même carrément gratuite au nord du pays !
On est de plus en plus nombreux à se méfier des pesticides. Mais comment être certain de les éviter ? Il y en a presque partout et c’est quasiment impossible, à l’oeil nu, de faire la différence entre une pomme saine et une autre chargée en produits chimiques… Heureusement, grâce à la découverte d’un étudiant normand, nous pourrons tous identifier ce que nous mangeons réellement !
Une invention française spectaculaire qui s’annonce infiniment précieuse…
Simon Bernard est étudiant à l’Ecole nationale supérieure maritime du Havre. (ENSM). Le rapport avec les pesticides ? Aucun ! Mais le jeune homme de 24 ans « aime réfléchir » et s’intéresse à de nombreux domaines. Une qualité certaine qui l’a mis sur la piste d’une trouvaille exceptionnelle !
En 2016, plus d’un milliard de personnes seraient toujours privées d’électricité. Un chiffre tellement ahurissant qu’on a du mal à se le représenter mais disons que, en gros, une personne sur 7 vit dans le noir dès la tombée de la nuit… Heureusement, le progrès technologique devrait prochainement changer le destin de ces hommes, femmes et enfants. Gros plan sur une merveilleuse invention.
A première vue, Little sun est une bête lampe de poche dont la seule originalité serait sa forme (elle ressemble à une fleur). Mais, si l’on étudie l’objet d’un peu plus près, on s’aperçoit que c’est beaucoup plus que ça.
A première vue, ces grands filets noirs tendus à la verticale au beau milieu de nulle part n’ont aucune raison d’être. Pourtant, ils remplissent une mission aussi surprenante qu’essentielle : ils transforment le brouillard… en eau potable ! Gros plan sur une invention qui change la vie de villages entiers.
Cette drôle d’installation se trouve à 1225m d’altitude sur la montagne Boutmezguida. C’est là, au Maroc que se récolte l’eau du brouillard depuis 2014 !
L’Australien Geoff Lawton est l’un des plus grands experts mondiaux en permaculture. Il a formé à cette méthode plus de 15 000 étudiants. Son dernier projet s’intitule Greening the Desert (faire verdir le désert) et c’est tout un programme. Il veut montrer que l’on peut créer de l’abondance partout, même dans un lieu aussi aride que le désert de Jordanie.
Avec son équipe, il a créé une forêt vivrière dans laquelle on trouve des arbres fruitiers, de la végétation, des vignes, des légumes, etc. Il n’utilise que des méthodes naturelles pour récupérer et recycler l’eau, pour fertiliser les sols et créer un écosystème riche en biodiversité et productif.
Aujourd’hui encore, 750 millions de personnes sont privées d’eau potable. Un scandale sanitaire et humain auquel une start-up toulousaine entend bien mettre un terme. Comment ? Grâce à Aqualink, un système autonome capable de purifier jusqu’à 360 litres d’eau par heure pour la version fixe et 300l par heure pour la version transportable ! Gros plan sur une invention spectaculaire qui pourrait enfin changer l’avenir.
La société en question s’appelle Sunwaterlife. Son produit phare ? Une valise d’apparence ordinaire mais qui peut, à n’importe quel endroit de la terre et en moins de cinq minutes, transformer une eau impropre à la consommation en eau potable.
Un scientifique d’origine indienne a découvert comment concilier la réduction de la pollution atmosphérique et la rentabilité des cartouches d’encre, grâce à une machine permettant de la transformer en encre noire pour imprimante.
Des tissus réalisés à partir de matière plastique recyclée récupérée sur terre mais aussi en mer : c’est l’idée d’une entreprise espagnole, Ecoalf, qui est passée aux actes.
© Pedro Armestre, AFP
A raison de quatre heures par jour, l’artiste chinois Jianguo Xiongdi a passé 100 jours dans les rues de Beijing pour dénoncer des niveaux historiques de pollution atmosphérique en aspirant suffisamment de poussière d’air pollué… pour en fabriquer une brique.
Bokhol apparaît sous un soleil de plomb au milieu d’une végétation d’épineux. Le village, situé dans le département de Dagana, au nord du Sénégal, supporte fièrement de gigantesques poteaux plantés sur son sol.
En attendant d’être surplombé par les panneaux solaires, Bokhol a célébré, jeudi 17 mars, le lancement du projet solaire Senergy 2 dans cette partie la plus ensoleillée du pays, limitrophe de la Mauritanie. Au son des tams-tams, hommes, femmes et enfants ont esquissé des pas de danse pour fêter l’événement.
Responsable des jeunes de la commune, Khalil Diaw s’exclame : « Ce qui se passe aujourd’hui est historique ! Avec cette centrale, notre village va enfin sortir des ténèbres, nous aurons enfin de l’électricité cette année ! »
Quelques chiffres:
70 à 80% des déchets retrouvés dans les mers et sur le littoral sont d’origine terrestre
60 à 95 % des débris trouvés au fond des mers sont des déchets de plastiques, principalement des emballages : sacs de caisse, bouteilles….
712 déchets sont comptabilisés par 100m de plage
Entre la surface de l’eau et 200 mètres de profondeur, on peut compter 150 millions de débris pour la mer du Nord, 50 millions pour le golfe de Gascogne, 300 millions pour le bassin
méditerranéen.
Carte ci-dessous :
Une association entre l’énergie éolienne et solaire va bientôt alimenter le métro de Santiago du Chili, et couvrira 60% de ses besoins en énergie.
Nous voyons de plus en plus d’initiatives pour l’utilisation des énergies renouvelables dans la consommation publique, comme les feux de circulation qui donnent la priorité aux cyclistes, ou encore le premier parc d’attractions au monde qui est entièrement alimenté à l’énergie éolienne.
Le projet Carbfix a capté les émissions de carbone à partir d’une centrale électrique et les a transformées en pierre stockable, ce qui empêche le CO² de pénétrer dans l’atmosphère.
Vidéo ci-dessous
Lorsque Cortez a découvert l’empire aztèque en 1519, il a découvert que 200 000 personnes vivaient sur une île au milieu d’un lac. Tenochtitlan, aujourd’hui Mexico, était la plus grande la ville et la plus luxuriante au monde, et cette ville forteresse était complètement entourée d’eau.
Pour nourrir toute leur population, les Aztèques ont construit des chinampas, des jardins flottants ingénieux, pour transformer les zones humides marécageuses du lac Texcoco en terres arables.
Le vent a soufflé si fort la semaine dernière en Australie du Sud qu’il a produit assez d’énergie pour alimenter 83 % des besoins en électricité des habitants pendant toute la journée du 11 juillet.
Alicia Webb, directrice de la société Clean Energy Council a déclaré :
« Cette grande quantité d’énergie éolienne est un effet positif d’un hiver particulièrement rigoureux. »
Cette plante est entrée dans le livre Guinness des records pour une récolte unique de 32 000 tomates d’un poids total de 522 kg ! Cet arbre extraordinaire se trouve dans le parc Epcot Center à Walt Disney World en Floride. Son nom : Octopus Tree.
Yong Huang, un expert en agriculture, a découvert cette plante en Chine. Il a planté des graines dans une serre spécialement aménagée. Les tomates sont servies dans les restaurants des parcs à thème.
Octopus Tree est né grâce à l’hybridation, une technique commune en agriculture et qui n’a rien à voir avec les OGM. Comme on peut le lire sur ce site, les manipulations génétiques sont effectuées en laboratoire. En revanche, « un hybride est créé lorsque le pollen d’une variété pollinise l’étamine d’une autre variété. »
Voici des photos de cette extraordinaire plante que vous pouvez voir pendant la liste Behind the Seeds à l’Epcot Center Park.
Transformer la pollution en diamants ? A première vue, l’idée peut sembler complètement absurde. Pourtant, c’est très sérieux. Après une première expérience réussie à Rotterdam, les initiateurs de ce projet complètement fou s’apprêtent à se déployer en Chine ! Gros plan sur une invention extraordinaire.
Bizarrement, on doit cette idée à un artiste. Daan Roosegaarde, de nationalité hollandaise, avait entendu parler de machines capables de capturer le carbone dans l’air. Designer de métier, il a aussitôt pensé à un débouché pour ce déchet : le transformer en bijou (un diamant étant composé de 42% de carbone) !
Nom du projet ? Le smog free project !
Les fermes Lufa offrent une alternative locale et écologique au système de production et de distribution de nourriture actuel. À la fine pointe de la technologie, ils opèrent leurs fermes sur les toits de bâtiments commerciaux. Leur concept est simple : cultiver des aliments là où les gens vivent et le faire de façon durable.
Ils utilisent donc des espaces autrement inutilisés; capturent l’eau de pluie; réutilisent 100 % de l’eau d’irrigation et des nutriments; minimisent la consommation d’énergie; compostent leurs déchets verts; utilisent les principes de la lutte biologique au lieu de pesticides, herbicides ou fongicides synthétiques; et ils livrent à leurs membres des légumes cueillis le jour de leur récolte.
vidéo ci-dessous
Un village autosuffisant est en train de voir le jour à Almère, une ville située à moins de 20 minutes d’Amsterdam (Pays-Bas). Il sera entièrement autonome : il produira l’énergie et l’alimentation dont ses habitants auront besoin. Explications.
ReGen Villages, une entreprise californienne, et Effekt, un cabinet d’architecture danois, ont conçu ce modèle de village capable de faire vivre une communauté de façon autonome. Les premières 25 maisons seront disponibles en 2017.
Le coût de l’énergie éolienne en mer du Nord se révèle inférieur de 30% par rapport à celui du nucléaire. Ce résultat dépasse les prévisions des experts les plus optimistes. Explications et chiffres.
Giles Dickson, le président de WindEurope, un groupe industriel spécialisé dans l’énergie éolienne en mer (offshore), a déclaré au magazine The Ecologist :
« Il était évident qu’un jour ou l’autre les coûts de l’énergie éolienne offshore allaient chuter rapidement. Aujourd’hui, cette tendance dépasse nos attentes. Le prix de 87 euros le MWH est clairement plus bas que nos prévisions les plus folles. Cela place désormais l’énergie éolienne en mer au même niveau que les autres moyens de production de l’électricité. »
Vos enfants n’arrêtent pas de courir dans votre appartement. Parfois, vous aimeriez bien avoir un peu plus de tranquillité pour vous reposer, lire ou regarder la télé. Eh bien maintenant, vous n’avez plus aucune raison de leur dire… d’arrêter ! Pourquoi ? Réponse avec ce carrelage révolutionnaire.
L’idée de la société italienne Veranu située en Sardaigne (qui signifie printemps) est géniale. Elle propose un carrelage qui génère de l’énergie électrique renouvelable… en marchant dessus ! Nom du concept : Smart Energy Floor (Energie intelligente par le sol).
Dans la banlieue de Kampala, la capitale de l’Ouganda, des habitants se livrent à une activité insolite. Ils ramassent les peaux de banane. C’est une matière première extrêmement précieuse. Pour quelle raison ? Pour lutter contre la déforestation ! Une aventure qui a commencé grâce à deux Français, Vincent Kienzler et Alexandre Laure. Explications.
Les bananes sont au coeur de l’alimentation locale. Mais leurs peaux finissaient irrémédiablement dans les poubelles. Un immense gâchis ! Sauf pour les membres du Peace Development Group. Que font-ils ? Ils convertissent ces peaux de banane en briquettes de biocombustible à usage domestique qui peuvent se substituer au charbon.