La centrale de Bokhol, d’une puissance de 20 MW, est le fruit d’un
partenariat public-privé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et des investisseurs privés nationaux et étrangers ; l’actionnariat local détenant 45%
des parts.
L’installation de cette centrale s’est faite en six mois seulement et
a mobilisé 300 travailleurs provenant surtout des localités environnantes, avec l’appui de la SENELEC et du Ministre de l’Energie et du
Développement des Energies Renouvelables.
Le Président a modifié la Constitution (référendum à venir), supprimé le Sénat et utilisé les fonds alloués à cette institution pour construire cette centrale.
!! L'objectif de ce blog n'est pas de dénoncer le nucléaire,
mais de présenter toutes les alternatives existantes et
les difficultés liées à la maîtrise de cette technologie. !!
Alors que l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé la mise à l’arrêt de 5 nouveaux réacteurs suite au scandale du Creusot qui a fait apparaitre des falsifications de documents et des malfaçons dans l’acier de pièces fondamentales pour la sûreté, une sortie du nucléaire doit être engagée en urgence.
Voir la carte des centrales en arrêt ci-dessous :
Énormément de personnes se dépensent sur des tapis électriques ou des vélos spéciaux…
Or, si le fait de pédaler nous rapporte quelques bénéfices, comme celui d’affiner notre silhouette, nous pourrions en plus gagner un peu d’argent
À Rotterdam, une ferme flottante et intelligente est en cours de construction pour raccourcir la chaîne d’approvisionnement en produits laitiers et soulager les agriculteurs d’une partie de la pression engendrée par la gestion des déchets.
© Pascal Bastien pour La VieFrançois Rouillay est le coordinateur national d'Incroyables Comestibles, un mouvement citoyen né en Grande-Bretagne.Après avoir été un des invités-vedettes de l'Université de la Terre à l'Unesco, il sera à l'honneur du réseau Colibri, ce samedi 4 mai, dans le cadre d'une journée nationale intitulée "Transformons nos territoires en immense potager !
Affaiblis par une intermittence de production caractéristique, les rendements des panneaux solaires progressent lentement mais surement.
Ils pourraient toutefois progresser beaucoup plus rapidement si la chaleur dégagée par ces mêmes panneaux lors de leur exposition aux rayons du soleil était elle aussi mise à profit.
C’est ce que propose le groupe français Systovi, via la mise au point d’un système innovant de panneaux aérovoltaiques, doté de la première batterie thermique au monde.
Stocker la chaleur du soleil
Soucieux d’accélérer la transition énergétique et de réduire les émissions françaises de dioxyde de carbone, un groupe d’habitants de la ville de Toulouse a décidé de s’unir pour développer localement, en plein cœur de la ville rose, les énergies renouvelables.
Une initiative baptisée Citoy’Enr et qui vise à créer une sorte de coopérative de production d’électricité propre.
Une coopérative de production d’énergie renouvelable
Entamée en juillet dernier, la baisse des prix de gros des panneaux photovoltaïques classiques en silicium prend de l’ampleur en Europe, note Martin Schachinger, CEO de la plate-forme commerciale pvXchange.
Même les modules solaires de source chinoise, qui étaient les seuls à n’avoir pas suivi cette tendance générale en septembre, semblent en prendre le chemin en ce mois d’octobre. Les panneaux PV arrivant du Sud-Est asiatique se distinguent le plus souvent par des prix inférieurs à 40 c€/W et, en gros volume, même les produits de source européenne ne sont plus très loin de ce niveau de prix.
Thassalia a été inaugurée le 17 octobre par Engie à Marseille. Cette installation est présentée par le groupe comme la première centrale de « géothermie marine » en France(1). Explications.
Thassalia et le principe de géothermie marine
Implantée au sein du Grand Port Maritime de Marseille, la centrale Thassalia prélève de l’eau de mer à 7 mètres de profondeur dans la Méditerranée, à une température avoisinant 14°C l’hiver et 22°C l’été. Cette eau transite en surface par des groupes froid et des thermofrigopompes (TFP) associés à des pompes à chaleur(2) : des frigories et des calories sont récupérées en fonction des besoins et transmises à un réseau alimentant une partie du nouveau quartier d’affaires portuaire Euroméditerranée(3).
Les bâtiments catholiques de France (églises, centres paroissiaux, presbytères et écoles privées partenaires) s’équipent de centrales photovoltaïques en toiture.
Cette démarche entamée par un grand nombre de diocèses est accompagnée par Patrimoine & Environnement (P&E), un développeur et exploitant de sites d’énergie solaire PV qui vise des partenariats avec des associations de culte catholique.
Le programme porte sur une puissance totale de 2,5 MWc à réaliser en 2016. Soit environ 250 projets cette année, dont 70 sont déjà opérationnels.
Green Power Technologie est le fournisseur exclusif des onduleurs (des modèles Huawei SUN2000-8KTL) et responsable de la chaîne logistique.
L’énergie solaire a le vent en poupe sur le sol français. Cette énergie, dont les coûts devraient encore baisser, pourrait en effet voir doubler le nombre d’emplois dans le secteur d’ici à 2023, à 30 000 équivalents temps plein (ETP), selon les premiers résultats d’une étude "Compétitivité et emploi- filière solaire en France : état des lieux et prospective 2023" (voir sur le site d’ENERPLAN) .
Selon l’étude, la baisse déjà constatée des coûts d’investissement et donc du coût actualisé de l’énergie (LCOE) dans le solaire (1) devrait donc se poursuivre avec une baisse estimée à -30% entre 2015 et 2025, faisant de l’énergie solaire l’énergie la plus compétitive.
L’hiver arrive. Et, à Bagneux, c’est grâce à la nouvelle centrale géothermique que les habitants vont pouvoir se chauffer. Après deux ans et demi de travaux, le bâtiment de 600m², construit à la lisière de Fontenay-aux-Roses, et son réseau de 12 km sous le sol de Bagneux ont été inaugurés ce mardi. En tout, près de 10 000 équivalent-logements — équipements publics, immeubles collectifs d’habitation et entreprises — pourront bénéficier de cette centrale, exploitée par Bagéops, une filiale de Dalkia. Châtillon a également raccordé une partie de son réseau à cette centrale balnéolaise. Que va-t-elle changer pour les abonnés ?
Même si ça prend du temps, il y a quand même des choses qui changent. Et ça fait plaisir.
Pendant des années, le charbon a été considéré comme l’une des sources les plus fiables d’énergie, même si c’était au détriment de notre santé : l’eau, l’air et le climat ont dégusté. Toutefois, ces six derniers mois, au Royaume-Uni, les panneaux solaires ont produit plus d’énergie que les centrales à charbon, montrant que tout a une fin. Pourrait-on s’approcher de la disparition des énergies fossiles ?
Un laboratoire de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dispose d’une installation capable de générer un flux lumineux d’une intensité équivalente à celle de « 21 700 soleils ». Celle-ci permet de réaliser un ensemble de tests en conditions extrêmes. Explications.
Un faisceau lumineux très concentré
The race to build the world's largest solar power plant is heating up. California-based energy company SolarReserve announced plans for a massive concentrated solar power (CSP) plant in Nevada that claims to be the largest of its kind once built.
The 110 MW Crescent Dunes Solar Energy Plant near Tonopah, Nevada was the first utility-scale facility in the world to feature advanced molten salt power tower technology. The developer wants to build 10 more of these at an undisclosed location in Nevada. SolarReserve
Si vous êtes habitué de la ligne 15 à Strasbourg, vous allez peut-être être surpris par le peu de bruit que fait votre bus.
Sur ce trajet, un des véhicules est, en effet, équipé de cette nouvelle technologie mise au point par l’entreprise alsacienne Lohr.
Elle consiste, sur les grands bus articulés (les bus doubles de 18 mètres), à remplacer l'essieu du milieu par un autre, équipé d'un moteur électrique logé dans les roues.
Ce moteur est utilisé au démarrage.
C'est à ce moment là que le véhicule a le plus besoin de puissance et d'énergie.
Mais dès qu'il atteint sa vitesse de croisière, c'est le moteur thermique traditionnel à l'arrière qui prend le relais.
Les cerfs-volants ont longtemps servi à amuser les enfants, mais ils pourraient bientôt représenter une innovation dans le monde des énergies vertes.
L’écosse souhaite installer, d’ici 2025, une installation composée de cerfs-volants qui permettrait d’alimenter en électricité toute une région du pays.
Une innovation qui montre, une fois de plus, les vertus du vent dans la production d’énergie.
Les pro nucléaires et les partisans des énergies fossiles n’ont cessé de le répéter : les énergies renouvelables sont vouées à l’échec car beaucoup trop chères à produire. Mauvaise foi ou manque de clairvoyance ? Quoi qu’il en soit, l’histoire est en train de leur donner tort, et pas qu’un peu : depuis quelques mois, les prix du solaire et de l’éolien s’effondrent littéralement ! Détails et explications.
À Abou Dhabi (Émirats arabe unis) une centrale électrique solaire va proposer un tarif encore jamais vu : 21,5 euros le mégawattheure d’électricité. En soi, ce chiffre ne vous parlera peut-être pas beaucoup. Alors, à titre de comparaison, sachez que le contrat de la future centrale nucléaire EPR d’Hinkley au Royaume-Uni (conçue par le français Areva) garantit un prix de 108€ le mégawattheure ! Voilà qui vous place un record…
L’eau est une ressource essentielle. Aussi, quand elle se fait rare, l’homme n’a pas d’autre choix que de la faire apparaitre. Et nul besoin d’être un magicien pour y parvenir : l’ingéniosité et l’imagination de certains conduisent chaque jour à de nouveaux « miracles ». Dernier exemple en date : cette drôle d’éolienne qui capture le vent… pour le transformer en eau !
Cette petite invention permet de collecter jusqu’à 37 litres d’eau par jour, et ce, même dans les régions les plus arides du monde, sans qu’aucune source extérieure d’énergie ne soit nécessaire !
Si la voiture électrique peine encore à séduire à grande échelle, c’est notamment à cause du rechargement de ses batteries : ça prend du temps et les bornes de rechargement sont bien trop rares. Mais, dans un avenir proche, cette question ne devrait plus du tout être un obstacle. Une startup allemande vient en effet de mettre au point une voiture électrique qui se recharge toute seule… et pour pas un rond ! Explications.
Cette startup innovante, c’est SonoMotors. À Munich, où elle est basée, elle a inventé Sion, une voiture dont la carrosserie est couvertes de panneaux solaires ! Résultat : l’engin est idéal pour faire ses petits trajets quotidiens sans jamais avoir à charger les batteries !
Pour lutter efficacement contre le dérèglement climatique, il existe une solution simple, évidente et connue de tous : la gratuité des transports publics. Jusque là, les grandes villes rechignaient à s’y mettre, mais peut-être que l’exemple de la capitale d’Estonie finira par les convaincre : là-bas, un referendum a institué la gratuité des transports et, depuis, tout le monde fait des économies, les usagers bien sûr, mais aussi la ville ! Explications.
Cette décision inédite et radicale a donc été prise par le peuple estonien lui-même. c’était en 2013. Désormais, il suffit d’être enregistré comme habitant de Tallinn (capitale de l’Estonie) pour avoir le droit d’emprunter les transports en commun sans avoir à dépenser le moindre sous.
La nouveauté est prodigieuse : une batterie qui se recharge plusieurs centaines de milliers de fois et qui aurait une durée de vie de 400 ans !
C’est une avancée considérable qui permettrait de lutter contre la pollution et l’obsolescence programmée. Une technologie découverte par hasard par une étudiante américaine.
La société allemande Siemens travaille actuellement sur le développement d’un système de stockage thermique qui combiné à l’énergie éolienne pourrait améliorer significativement le rendement de ce genre de technologie.
En Finlande, des chercheurs ont imprimé des photographies capables de produire de l’électricité grâce à une encre spéciale.
Les typhons sont généralement synonymes de destruction environnementale et humaine. Un ingénieur japonais a décidé de changer la donne et d’utiliser leur puissance pour produire de l’énergie grâce à cette nouvelle éolienne.
Depuis longtemps, les Néerlandais ont un rapport particulier avec la mer. Après avoir régné les océans pendant des siècles grâce à leurs puissants navires, après avoir dompté les flots pour
construire des villes à la place des eaux, ils lui doivent beaucoup, à la mer, et ils le savent bien !
C’est peut-être pour cela, finalement, qu’ils s’apprêtent à construire les premières routes entièrement construites en plastique recyclé, récupéré dans les océans ! Sans doute une manière de
montrer aux dieux des marées que l’industrialisation
du pays ne fait pas que grignoter de l’espace sur la Mer du Nord, mais qu'elle peut également jouer en la faveur de Poséidon.
Décidément, ils sont très forts, ces Bataves, dans le domaine de l’écologie, puisqu’ils avaient déjà inventé la première « piste cyclable solaire », pour permettre aux gens circulant à vélo de consommer encore moins d’énergie... Et c'est aussi un jeune Néerlandais, âgé de 19 ans à peine,
qui a inventé un système révolutionnaire de dépollution des océans !
Un train non polluant et non électrique : c’est la nouveauté que le groupe français Alstom vient de dévoiler au salon InnoTrans à Berlin. Son nom : Corrida iLint. Il sera mis en service à la fin de 2017 en Allemagne. Présentation.
Tous les réseaux ferroviaires ne sont pas électrifiés. Par exemple, plus de 4 000 trains diesel sont encore en circulation en Allemagne. Il fallait trouver une alternative beaucoup moins polluante.
Corrida iLint est le premier train au monde sans émission de CO2. L’alimentation électrique du train et des équipements à bord est produite par une pile à hydrogène et stockée dans des batteries lithium-ion. Comme pour une voiture électrique, les batteries sont rechargées lors des phases de freinage. Il n’émet que de la vapeur et de l’eau condensée. Autre avantage : un faible niveau de bruit.
Une startup indienne est sur le point de mettre en vente une éolienne à un prix inédit tant il est peu élevé.
Le projet pilote, récompensé à plusieurs reprises pour son caractère durable, social et innovant, donne aux citoyens un rôle clé dans la transition énergétique.
De quoi, dit-on, assurer une certaine autonomie énergétique d’un ménage indien.
Audi vient de présenter les résultats de ses recherches sur le système eRot, une nouvelle génération d’amortisseurs capable de récupérer l’énergie pour produire de l’électricité.
« Chaque nid de poule, chaque bosse, chaque courbe apporte de l’énergie cinétique dans le véhicule. Les amortisseurs aujourd’hui installés absorbent cette énergie, qui est donc perdue sous forme de chaleur » constate Stefan Knirsch, en charge du développement technique chez le constructeur aux anneaux, qui a souhaité proposer une nouvelle génération d’amortisseurs capable de récupérer cette énergie « perdue » pour produire de l’électricité.
Depuis la ratification de l’accord de Paris à l’issue de la COP21, la communauté internationale s’est engagée à développer les énergies renouvelables.
Pourtant, l’intermittence des ENR limite pour l’instant l’exploitation des énergies propres.
Pour solutionner ce problème, la société canadienne Hydrostor propose d’utiliser la pression de l’eau afin de stocker l’électricité…
C’est à Capesterre-de-Marie-Galante, commune située dans le département de la Guadeloupe, qu’a été inaugurée à la fin du mois de juin la première centrale éolienne de France équipée d’un système de stockage d’électricité.
Ce projet pilote et novateur vise à favoriser l’intégration de l’énergie éolienne dans une zone caractérisée par son éloignement du réseau électrique métropolitain. Explications.
L'Etat va donner un coup de pouce pour que ceux qui ont des panneaux ou une éolienne consomment l'électricité qu'ils produisent eux-mêmes, plutôt que de la revendre à EDF.
C’est parti ! Avec un certain retard sur d’autres pays européens, la France s’apprête à inciter à son tour les entreprises et les ménages qui le souhaitent à produire et consommer leur propre électricité, à partir notamment de panneaux solaires.
Un double coup de pouce va être donné par l’Etat en ce sens, alors que seuls 15 000 foyers français et quelques dizaines d’entreprises se sont pour le moment lancés dans l’aventure de l’autoconsommation.
Une équipe de scientifiques d’une université belge a créé une machine qui transforme l’urine en eau potable et en engrais en utilisant l’énergie solaire. C’est une technique qui pourrait être utile dans les zones rurales et les pays en voie de développement !
Si d’autres options existent pour traiter les eaux usées, le système employé à l’université de Ghent utilise une membrane spéciale qui, d’après les chercheurs, a l’avantage d’être peu consommatrice en énergie et utilisable dans les régions dépourvues de réseaux électriques.
En Allemagne, l’Institut Fraunhofer prévoit de tester une nouvelle solution de stockage d’énergie sous-marine, capable de rivaliser avec les centrales de stockage traditionnelles.
Afin de résoudre la crise énergétique que traverse la bande de Gaza, deux étudiants ingénieurs ont développé un prototype de véhicule solaire.
Ils s’appellent Khaled Bardawil et Jamal al-Meqati et ont décidé d’apporter une solution aux nombreux problèmes d’énergie rencontrés dans la bande de Gaza.
Le recyclage des solutions solaires est désormais un enjeu qui mobilise de nombreux fabricants.
NB : plus l'usure quotidienne qui génère des particules très fines et toxiques
En Norvège, 99 % de la production totale d’énergie est hydroélectrique,
et les dernières centrales qui sont apparues sont pensées pour être
non seulement écolos, mais aussi esthétiques.© Stein Hamre Arkitektkontor/Bjorn Leirvik
Adwen et LM Wind Power se sont associés pour réduire le coût de l'énergie éolienne l'offshore, en pour construire la pale la plus longue... - Energie
DIAPORAMA sur le lien ci-dessous :
Préparées, des écailles de poissons, formées de millions de fibres de collagène, exhibent des propriétés piézoélectriques : elles produisent du courant quand elles se déforment sous l’effet d’un bruit, du vent ou d’un mouvement.
Voilà, démontrent deux chercheurs indiens, comment réaliser des nanogénérateurs biocompatibles qui pourraient alimenter des systèmes médicaux implantés, comme des stimulateurs cardiaques.
La communauté agricole Demeter de Heggelbach, installée près de Sigmaringen, au nord du lac de Constance en Allemagne, inaugure le 18 septembre prochain, dans le cadre d’une « journée portes ouvertes », une ferme solaire agrophotovoltaïque de 194,4 kWc, un projet pilote conçu pour démontrer la faisabilité du concept.
Les panneaux solaires sont en effet montés sur des structures hautes de près de 6 mètres, ancrées dans le sol sans béton, avec une inclinaison optimisée établie par simulation pour permettre simultanément une production agricole.
L'électricité produite à partir des énergies renouvelables a représenté 26% de la consommation de courant des Français au deuxième trimestre, grâce surtout à l'hydroélectricité.
Un parc d'éoliennes, le 18 août 2016 à Guillonville, dans le centre de la France (c) Afp
Le développement de l'éolien en France a retrouvé un rythme soutenu.
Près de 2.000 emplois ont été créés l'année dernière.
Une société française va peut-être révolutionner l’agrochimie dans les années à venir. ImmunRise a découvert une algue agissant comme un bio-pesticide.
Faire pousser une forêt dans un désert aride représente déjà un formidable exploit. Mais, y parvenir sans puiser dans les ressources d’eau, là, ça relève carrément du prodige ! Pourtant, les Égyptiens ont réussi. Comment ? En associant ingéniosité, imagination… et volonté. Gros plan sur une performance qui autorise les espoirs les plus fous.
À deux heures du Caire (la capitale égyptienne), se trouve la forêt de Sérapium : 200 hectares de verdure composés d’une grande variété d’arbres. Pourtant, jusqu’aux années 90, à cet endroit précis, il n’y avait rien du tout. Seulement du sable et de la poussière sommeillant sous le soleil du désert…
Tandis que l’Amérique latine est la région du monde où l’énergie renouvelable se développe le plus rapidement, le Chili, gros producteur d’énergie solaire, participe aujourd’hui pleinement de cette croissance exponentielle.
Le pays a vu son nombre d’installations renouvelables augmenter considérablement en l’espace de quelques années, grâce à des conditions climatiques favorables et à des politiques incitatives.
Problème, ce développement accéléré semble avoir manqué de cohérence et se retrouve aujourd’hui freiné par des cas de plus en plus fréquents de surproduction.
Le 16 août dernier, Londres donnait son accord à l’extension du Hornsea Project qui avec plus de 300 éoliennes pourrait devenir le plus grand site offshore au monde. L’entreprise danoise DONG Energy qui exploite le site a annoncé la construction de 174 éoliennes en mer d’ici 2020.
C’est dans la commune portuaire de Port-Saint-Louis-du-Rhône, située dans les Bouches-du-Rhône, qu’a été inaugurée fin juin dernier la plus grande toiture photovoltaïque industrielle de France.
Ce nouveau site de production d’énergie solaire est issu de la collaboration entre le producteur de fertilisant Méditourbe, soucieux de réduire l’empreinte carbone liée à son activité, et le constructeur de centrales solaire Cap Vert Énergie.
Zoom sur une usine à énergie positive made in France.
Installé depuis 2012 à Vendeuvre-sur-Barse dans l’Aube, le projet expérimental Venteea teste des outils de stockage de l’énergie éolienne uniques en France.
Enedis (ex-ERDF), porteur du projet, a présenté au mois de juin dernier, à Troyes, les résultats de ces tests lui permettant d’intégrer au mieux l’énergie intermittente et aléatoire issue de la production éolienne, sur le réseau de distribution.
Stocker l’électricité pour mieux intégrer les énergies renouvelables
Si la nature est toujours très utile dans la production d’énergie, elle est aussi et surtout une source d’inspiration inépuisable pour l’homme.
C’est encore le cas aujourd’hui au Japon où des chercheurs de l’Institut de recherche biologique Riken d’Osaka tentent de produire du courant en imitant le fonctionnement de l’organe électrique d’une raie torpille.
Malgré la progression des énergies renouvelables, le nombre de centrales thermiques en activité et en projet à l’heure actuelle reste très important à l’échelle internationale et impose la mise en œuvre de technologies de purification des fumées.
Les techniques de captage du CO2 apparaissent comme les moyens les plus efficaces et pourraient même devenir des solutions incontournables au regard des derniers progrès accomplis aux Etats-Unis.
Une équipe de recherche de l’université de Cornell dans l’Etat de New-York a mis au point une cellule électrochimique capable de capturer et d’exploiter le dioxyde de carbone dans la production d’électricité.
Des chercheurs de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et du Centre suisse d’électronique et de microtechnique (CSEM) ont révélé, fin août, avoir mis au point un procédé de stockage de l’énergie solaire sous forme d’hydrogène, au moyen de cellules solaires disponibles dans le commerce et d’un système sans matériaux rares.
Une performance inédite caractérisée par une stabilité de l’énergie stockée et une limitation des coûts encore jamais atteintes.
Des chercheurs de l’Institut de Technologie de Géorgie, aux États-Unis, ont annoncé avoir mis au point un nouveau type de verre intelligent capable de produire de l’énergie grâce au principe de l’effet triboélectrique.
Derrière ce nom un peu barbare se cache un phénomène électrostatique de transfert de charges électriques se produisant lorsque deux matériaux différents entrent en contact.