Le site WIKIFAB
propose des tutoriels pas à pas pour tout faire, du barbecue solaire, à la fabrication d’une lampe sans colle, ni scoth, du recyclage du plastique, à la veste cycliste avec clignotants, etc.
Tout le monde peut participer et proposer des tutos..
D'autres idées sur ALLINBOX,
et sur INSTRUCTABLES (en anglais)
Ce photographe a eu une idée aussi simple que lumineuse : produire de l'électricité à l'aide de fruits et de légumes. Et ça fonctionne ! Génial.
Lorsque vous étiez enfants, avez-vous déjà tenté de fabriquer une pile électrique biologique ? Aussi insolite que l’idée puisse paraître, c’est tout à fait possible. Partant de ce principe, le photographe Caleb Charland a mis en place de surprenantes installations éclairées par le vivant.
C’est en se basant sur un projet scolaire des plus classiques, la batterie de pommes de terre, qu’est née l’idée du projet « Back to light« . En insérant un clou galvanisé d’un côté d’une patate et un fil de cuivre de l’autre, un petit courant électrique est généré. Un phénomène électrique simplissime absolument fascinant aux yeux de Caleb Charland, qui décide d’en faire un projet artistique.
La plus grande batterie du monde a été raccordée vendredi en Australie-Méridionale pour pallier les carences de son réseau électrique avec de l’énergie propre, ont annoncé les autorités.
La batterie lithium-ion a été fournie par Tesla, le constructeur de voitures électriques fondé par Elon Musk, et pourra alimenter 30.000 logements, en association avec Neoen, leader français des énergies renouvelables.
L’impact paysager des éoliennes et l’industrialisation des campagnes qu’elles représentent soulèvent de nombreuses oppositions. La querelle pose une question politique : l’éolien peut-il être autre chose que la poursuite du monde industriel, fondé sur la croissance, la consommation et la marchandisation du bien commun ?
source : https://reporterre.net/Les-paysages-de-l-eolien-on-ne-peut-plus-faire-sans-les-citoyens
Queue de lézard. Dans la nature, certains animaux sont capables de faire repousser un de leurs membres lorsqu’il a été sectionné. C’est notamment le cas des lézards, des étoiles de mers, de certains poissons et de certains amphibiens. Chez l’homme, la tâche est plus ardue.
Les cellules souches du fœtus ont le pouvoir de se muer en n’importe quelle autre cellule pour fabriquer un os, un muscle ou encore un neurone. Hélas, elles perdent cette capacité à la naissance. Résultat, notre organisme n’a pas le matériel nécessaire pour reconstituer une partie de notre corps.
La nature en général, et le monde animal en particulier, sont une excellente source d’inspiration pour les scientifiques, comme le confirme une nouvelle étude parue dans la revue Science advances du 18 octobre. Cette fois-ci, des chercheurs de l'Institut de technologie de Californie (Caltech) et de l'Institut allemand de technologie de Karlsruhe (KIT) proposent d’améliorer la performance des cellules photovoltaïques, utilisées par exemple dans les panneaux solaires, en s’inspirant des qualités des ailes de papillons.
Les ailes de Pachliopta aristolochiae, un papillon noir d’Asie, se caractérisent, comme son nom l’indique, par leur pigmentation foncée.
Elles sont recouvertes de structures d’échelles micro- et nanométriques qui captent la lumière du Soleil provenant de diverses directions et présentant différentes longueurs d’ondes. En outre, la
structure de ces ailes, composée d’arêtes et de trous minuscules, offre une bonne stabilité mécanique, tout en assurant une captation efficace de la lumière. (schéma
ci-dessous)
Au commencement était le Soleil. Sous l’effet de sa chaleur, des molécules d’air se déplacent, avec des vitesses variables, des zones de pressions élevées vers des zones de pressions plus faibles. Ainsi naît le vent.
Sur son passage, on dispose une turbine de trois pales, profilées comme des ailes d’avion. L’air est accéléré d’un côté et freiné de l’autre, ce qui leur confère une force de portance. Les pales se mettent à tourner, et la puissance du vent est transformée en puissance mécanique. La turbine est reliée à une génératrice électrique qui transforme l’énergie de cette rotation en électricité. Voilà pour le principe.
La Commission européenne vient de donner son aval au programme Mieterstrom et aux subventions associées sous forme de prime à l’autoconsommation mis en place par l’Allemagne pour promouvoir le déploiement de centrales photovoltaïques sur les immeubles d’habitation ainsi que l’autoconsommation de l’électricité de source solaire par les locataires.
La toiture photovoltaïque organique (OPV) du collège Pierre Mendès-France, à La Rochelle (Charente-Maritime), a été inaugurée le 15 novembre.
Quelque 530 m2 de film organique vont permettre de produire 23,8 MWh d'électricité, représentant l'équivalent de la consommation annuelle de cinq maisons et 15 à 20% des besoins en électricité du collège. Cette électricité sera autoconsommée.
Comme Silverstone au Royaume-Uni, le circuit automobile d’Albi a été tracé en 1959 autour d’un aérodrome. Il a bien failli disparaître en 2014, à la demande des riverains qui se plaignent des nuisances sonores.
Du 12 au 14 mai, la piste de 3 500 mètres a accueilli la première édition de l’Albi Eco Race : une course enfin silencieuse, réservée aux voitures électriques.
Des étudiants de l’Ecole des mines Albi-Carmaux (EMAC, qui travaille sur la filière hydrogène) ont participé à la compétition à bord de l’Eucl’Hyd II. Ce concept-car a déjà vu passer des générations d’étudiants depuis sa première course, en 2005. Il doit son nom au premier prototype développé au sein de l’école, qui roulait à l’hydrogène.
Alstom a mis au point un train régional roulant grâce à des piles à combustible.
Une innovation pour en finir avec les motrices diesel ultrapolluantes.
La Basse-Saxe en acheté 14 exemplaires;
Casquette orange fluo vissée sur la tête et gilet assorti, le conducteur confortablement installé dans sa cabine de pilotage vitrée donne une légère impulsion de la main sur le joystick et le train bleu siglé «H0» pour «hydrogène zéro émission» s’ébranle tout en souplesse, sans autre bruit que celui du roulement de ses bogies sur les rails.
«Ce qui est le plus impressionnant pour un conducteur habitué aux automotrices diesel, c’est le silence qui contraste avec la puissance immédiatement disponible.
La plus grande centrale photovoltaïque d'Amérique Latine, le 9 novembre 2017 à Pirapora, au Brésil-AFP/CARL DE SOUZA
Des panneaux solaires à perte de vue, sur une étendue grande comme plus de 1 200 terrains de football, Pirapora, la plus grande centrale photovoltaïque d'Amérique Latine, doit permettre au Brésil de rattraper son retard dans le solaire.
Contribuer, à travers la formation et l'information, et par des approches interdisciplinaires, à une meilleure prise en compte de l'environnement dans les processus de développement et de gestion de projets, dans un souci de développement durable.
En 1992, dans
la mouvance du Sommet de la Terre Rio 92, une association étudiante
implantée sur le Campus de l'université des sciences de Montpellier, le GUEPE (Groupe d'échange et de Projets sur l'Environnement) diffuse un questionnaire
concernant des actions intéressant les étudiants.
Il en ressort que 70% des personnes interrogées se disent prêtes à suivre un cours pluridisciplinaire
sur l'environnement à l'université. Ce type de cours n'existant pas, un groupe de travail est mis en place dans les cadre du GUEPE, rassemblant des étudiants et des enseignants-chercheurs
convaincus de la pertinence du concept...
Alors qu’elle visite un temple du nord de la Thaïlande, Samorn Hiranpraditsakul, chercheuse en génie industriel, est choquée par les piles d’assiettes et de contenants en polystyrène jetés dans l’environnement par les citoyens et touristes.
Le recours au tout jetable s’est généralisé ces dernières années et un retour en arrière semble inespéré avant de nombreuses années.
L’idée fait son chemin et au bout d’un an de recherche, l’équipe dirigée par Sirintip Tantanee a finalement trouvé l’alternative idéale, notamment inspirée des tapari népalais : les feuilles d’arbres récoltées comme matériau de base.
Grâce à un procédé dont il tient à garder le secret, Nicolas Moufflet est capable de transformer, à l’aide de déchets de canne à sucre, de noyaux d’olives, de roseaux ou de pépins de raisin en bouteille.
On sait juste que pour parvenir à un tel résultat, il passe de petites éprouvettes en sucre dans une immense machine en forme de cube. Voici ce qu’il a confié à France Bleu :
« Les éprouvettes passent dans un four où elles sont chauffées. Ensuite elles rentrent dans un moule taillé sur mesure pour obtenir les flacons demandés. La seule chose que je peux vous dire c’est qu’il y a du sucre, le reste, c’est secret! »
Gitanjali Rao a seulement 11ans. A cet âge, vous entriez à peine en classe de 6ème. Elle n’a pas perdu de temps. La jeune fille vient de remporter le prix de « meilleure jeune inventrice » aux Etats-Unis.
En effet, elle a crée une sonde qui détecte l’eau contaminée au plomb.Et son invention est plus efficace que les systèmes déjà existants.
Il n’existait auparavant que deux techniques. L’utilisation de bandelette-test, peu chère mais également peu fiable. Et l’envoie d’un échantillon d’eau à un laboratoire spécialisé. Mais cette technique est impossible dans la vie quotidienne, tant elle prend de temps et d’argent.
De plus, pour un résultat fiable, il faudrait recommencer l’opération tous les jours.
Chaque année, le cabinet The Economist Intelligence Unit publie un rapport d’étude sur la qualité de vie dans 140 villes à travers le monde.
Pour établir ce classement, divers points sont mis en avant.
En particuliers, ce sont des critères tels que la stabilité politique, la sécurité, la qualité des services de santé, l’accès à la culture, l’éducation, l’attention apportée à l’environnement ou encore la qualité des infrastructures urbaines qui sont pris en compte.
Glowee est une startup biomimétique, qui utilise la bioluminescence pour produire de la lumière naturelle et écologique. Une innovation aux applications multiples.
Entretien avec Geoffroy de Bérail, chef de l'exploitation de Glowee.
Des chercheurs de l'Institut fédéral suisse de Technologie (ETHZ) à Zurich, ont développé une nouvelle forme de toit incurvé en béton ultra
fin, capable de produire de l'énergie solaire. Ce toit au design très original devrait permettre de générer plus d'énergie que le bâtiment n'en consomme.
VIDEO CI-DESSOUS
La batterie mise au point par les chercheurs du prestigieux MIT permet de stocker de l’énergie sur le long terme, pour un coût cinq fois
inférieur à celui des technologies existantes et avec une densité d’énergie très élevée. On vous en dit plus sur ce nouveau concept.
L'EcoStock est une pile rechargeable en chaleur (jusqu'à 1000°C) placée dans un container maritime isolé de l’intérieur.
L'EcoStock est une unité standardisée permettant de récupérer et valoriser la chaleur perdue des industries. Cette énergie récupérée peut ensuite être restituée sous forme de chaleur, d'électricité, de froid ou de vapeur.
L’utilisation d’un container rend l'EcoStock modulaire en puissance et capacité, transportable et plug&play pour une plus grande flexibilité dans la valorisation de l’énergie récupérée.
Exploitant des matériaux de stockage thermique issus de l’économie circulaire, fabriqués à partir de déchets ou coproduits industriels, l’EcoStock est une solution à bas coûts (faible CAPEX et OPEX), qui présente une longue durée de vie et nécessite très peu de maintenance.
Pour la huitième édition, les Grands Prix de la finance solidaire vont récompenser cinq structures nominées dans cinq catégories : lutte contre les exclusions, entrepreneuriat dans les pays en développement, innovation sociétale, activités écologiques et « coup de cœur » du public.
L’objectif ? Mettre en lumière des projets solidaires qui œuvrent quotidiennement au développement d’activités utiles à la société, et qui ont bénéficié du soutien de la finance solidaire
Des scientifiques de l’Université de Stanford ont utilisé les yeux terrifiants d’un insecte pour aider dans le développement de cellules solaires avec un matériau photovoltaïque fragile.
VIDEO CI-DESSOUS
Les 14 km du littoral de la commune d’Agde (Hérault) et de l’Aire Marine Protégée de la côte agathoise font l’objet depuis de nombreuses années de balisages avec corps-morts pneus/béton ou béton pour l’installation de la bande littorale des 300 m.
La restauration écologique du littoral agathois est en marche. Le projet piloté par la ville d’Agde consiste à optimiser et expérimenter un nouveau type de balisage de la bande littorale des 300 mètres, dans le périmètre de l’Aire marine protégée de la côte agathoise, le site Natura 2000 marin et géré par cette commune.
Le projet est financé par le ministère de l’Écologie dans le cadre d’un contrat Natura 2000 marin. X Reef, le dernier de six modules expérimentaux conçus avec la start-up montpelliéraine Seaboost a été immergé au large de la plage de Rochelongue, vendredi après-midi en présence notamment de Gilles d’Ettore, le maire d’Agde. Une première en mer Méditerranée.
VIDEO DETAILLEE CI-DESSOUS
La France, qui a accumulé un retard conséquent dans le domaine, a inauguré vendredi sa première éolienne en mer, sur le port de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), où elle a été assemblée avant d'être remorquée et mise en service au large du Croisic début 2018.
Baptisée "Floatgen", cette première éolienne offshore de France, de taille modeste par rapport à celles qui seront amenées à lui succéder, a la
particularité d'être flottante. Une technologie encore émergente, puisqu'il n'existe aujourd'hui que six démonstrateurs à travers le monde, notamment au Japon, contre plus de 3.600 éoliennes
dites "posées" (accrochées au fond de la mer).
VIDEO CI-DESSOUS :
41 véhicules futuristes ont pris le départ ce week-end pour disputer le World Solar Challenge, une course de 3000 kilomètres à travers le coeur désertique de l'Australie.
Des véhicules propulsés à l'énergie solaire se sont élancés dimanche pour une course de 3000 kilomètres à travers le coeur désertique de l'Australie, une épreuve destinée à servir de vitrine aux technologies susceptibles d'équiper un jour la voiture de tout un chacun.
Les étudiants de l’Université de Technologie d’Eindhoven aux Pays-Bas ont conçu et construit une voiture légère à l’aide de résines dérivées de betteraves sucrières et de lin. Seules les roues et la suspension sont constituées de matériaux classiques. La voiture, qui pèse seulement 310 kilos, dispose de quatre sièges et a été certifiée par l’autorité néerlandaise des véhicules comme étant autorisée à rouler.
Une startup allemande a conçu un espace vert connecté à internet qui est contrôlé électroniquement et élimine la pollution de l’environnement urbain.
Ce mur vert technologique haut de près de 4 mètres, encastré dans un cadre en béton, permet de nettoyer autant d’air pollué que toute une forêt, combinant l’Internet des Objets et la biotechnologie pour collecter des données tout en améliorant l’environnement urbain.
Créé par Green City Solutions, cet arbre n’en est pas vraiment un, mais plutôt une culture de mousse qui supprime la poussière, le dioxyde d’azote et les gaz d’ozone de l’air tout en recueillant des données météorologiques fournissant de l’électricité via des panneaux solaires et filtrant sa propre eau de pluie.
Les bâtiments de toutes natures pourraient bientôt transformer l’énergie solaire en électricité sans avoir besoin de panneaux solaires, grâce à de nouvelles technologies innovantes.
Les experts en énergie renouvelable de l’Université d’Exeter (Angleterre) développent une nouvelle technique pionnière qui pourrait accélérer l’introduction généralisée de bâtiments à énergie positive grâce au photovoltaïque intégré au bâtiment (BIPV).
La société française Sunpartner vient d’inaugurer sa première ligne de fabrication industrielle de panneaux solaires transparents et colorés. Le marché du "solaire intégré au bâtiment" devrait représenter plus de 2,5 milliards d’euros dès 2023.
Des panneaux solaires orangés intégrés à une façade.
Sunpartner technologies
Au lendemain du séisme qui a frappé le Grand Est du Japon, une demande a émergé en faveur de l’introduction de systèmes énergétiques distribués qui soient hautement résistants aux catastrophes naturelles.
Le séisme a fait apparaître la vulnérabilité de ces systèmes énergétiques centralisés face à ces catastrophes. Dans le même temps, il est également devenu nécessaire de compenser de manière flexible l’approvisionnement instable en énergie électrique via l’expansion considérable de l’utilisation des énergies renouvelables.
Avec le lancement du chantier d’une troisième centrale de géothermie profonde, l’Eurométropole compte parmi les agglomérations françaises où la part des énergies renouvelables est la plus importante.
Chantier de la centrale de géothermie profonde d'Illkirch-Graffenstaden.
Strasbourg le 09 10 2017. — G. Varela / 20 Minutes
Dans le cadre de la généralisation de l’éducation au développement durable (EDD), de la lutte contre le changement climatique et pour répondre aux objectifs de développement durable des Nations Unies, le ministère de l'Éducation nationale organise la 3ème édition de la Semaine du climat, qui se déroulera du 9 au 14 octobre 2017.
Un design innovant de la société néerlandaise Waterstudio pourrait révolutionner la façon dont nous produisons de l’électricité à partir de la mer.
Waterstudio, une société néerlandaise qui se focalise sur l’urbanisme et la recherche en eau, a développé une digue flottante innovante appelée Parthenon.
Les digues ne sont évidemment pas quelque chose de nouveau, mais Parthenon se démarque par son design. Plutôt que d’être une paroi de fond solide, le Pathenon est composé de rangées de colonnes de trois pieds qui tournent lentement dans les deux sens lorsque l’eau les traverse. Ce procédé possède quelques avantages de premier ordre.
Les chercheurs de l’Université LUT ont développé une méthode de production de cellules uniques de protéines provenant de l’air.
Des chercheurs finlandais ont découvert comment fabriquer un aliment très nutritif n’importe où, en utilisant de l’air et de l’électricité. Appelée « Food From Electricity », la recherche s’inscrit dans le cadre du projet Neo-Carbon Energy, une initiative internationale destinée à un avenir de production d’énergie entièrement exempt d’émissions. L’équipe de l’Université de Technologie de Lappeenranta (LUT) en Finlande s’est fondée avec la motivation de découvrir une méthode de production alimentaire qui a eu un impact environnemental réduit, les pratiques agricoles ont un énorme impact sur la terre dans un climat en évolution rapide, de sorte que l’équipe a conçu une manière de produire une source alimentaire qui ne requiert aucune agriculture quelconque.
Les dispositifs électroniques portatifs comme les bandes sportives et les montres intelligentes pourraient être plus confortables avec l’aide d’un extrait de thé vert.
Des chercheurs indiens ont inventé un dispositif de stockage utilisant un extrait de thé vert. L’appareil est flexible, compact et rechargeable, et peut être inséré dans un dispositif portable comme les montres et les bandes sportives.
Le polyphénol, qui est un élément composant le thé vert, peut être chargé rapidement et déchargé à plusieurs reprises, idéal pour un dispositif de stockage d’énergie.
La plupart des batteries sont fabriquées à partir de matériaux durables et rigides, de sorte que cette percée pourrait être le début de l’apparition de dispositifs d’énergie plus flexibles.
... les prix baissent !
D'un gabarit similaire à une Opel Ampera-e, la Sono Sion se veut moins chère et plus écologique.
Cette auto proposée par une start-up allemande utilise des panneaux solaires pour recharger – partiellement – sa batterie.
La Sono Sion peut récupérer jusqu'à 30 km d'autonomie chaque jour, grâce à ses panneaux solaires.
Imaginez un monde sans essence ni diesel, rempli d'éoliennes, de barrages, d'usines marémotrices, de centrales solaires et de centrales à évaporation.
Ce cauchemar d'industriel du pétrole semble encore assez éloigné, et nous ne sommes pas prêts à retourner à l'âge d'or de la machine à vapeur... surtout que pour faire bouillir l'eau des chaudières, il fallait du charbon.
Pourtant, une équipe de chercheurs de l'université Columbia de New-York suggère aujourd'hui très sérieusement que l'on utilise la vapeur d'eau comme source d'énergie non polluante.
Ouvrons les portes et les fenêtres de nos esprits à la révolution numérique de l’énergie… Le temps est venu d’une plus grande autonomie de destin au niveau local.
L’autoconsommation est vue par certains comme un risque de « communautarisme énergétique », une façon de se soustraire à la solidarité nationale de notre système électrique centralisé.
L’autoconsommation est pourtant encore hyper marginale et sera sans effet réel sur le système électrique national avant des années. Toutefois, comme elle recèle un énorme potentiel de disruption du système électrique, elle bouscule notre référentiel culturel « colbertiste ».
Lors d'un déplacement dans la Vienne le 25 septembre, Sébastien Lecornu, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, a annoncé de nouvelles mesures en faveur des énergies renouvelables.
Les petites et moyennes installations de production d'électricité renouvelable pourront bénéficier d'une réfaction tarifaire sur les coûts de raccordement aux réseaux allant jusqu'à 40%.
Jusqu'à présent, seuls les consommateurs et les gestionnaires de réseaux bénéficiaient d'une réduction sur le prix du raccordement aux réseaux électriques, détaille le communiqué du ministère. Cette réduction est prise en charge par le tarif d'utilisation des réseaux électriques".
La Grande-Motte a lancé un ambitieux projet de thalassothermie pour chauffer les bâtiments du centre-ville.
La Grande-Motte se met à la thalassothermie. Rien à voir avec les spas et les saunas. Les pieds dans l’eau, la station balnéaire a décidé de profiter de la ressource de l’or bleu, et pas uniquement pour le tourisme.
Vue aérienne de La Grande-Motte — R. Mortier
Décidément, les énergies renouvelables n’ont pas fini de nous surprendre. Seokheum Choi, chercheur à la Binghamton university de New York, a mis au point une batterie électrique qui se recharge grâce une simple goutte de salive humaine ! Ça paraît complètement fou, et pourtant… Explications.